Sujet: Yolandi Sucre Red Venom (Sucrette) Dim 15 Juil - 11:27
Yolandi Sucre Red Venom
Soyez positif, tous les gens que vous détestez vont mourir un jour.
▌SURNOM : J'ai plus l'habitude qu'on me tutoie juste. ▌GROUPE : Eyes closed. ▌AGE : 18 ans. ▌DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 10 juillet 1994, quelque part en corse. ▌POUVOIR/SPECIFICITE : Maitrise du feu, du feu émane de mon corps, mon pouvoir s'active tout seul quand je suis en danger ou en colère, mais je peux aussi l'activer moi même, plus pour me réchauffer que pour me battre. ▌NIVEAU DU POUVOIR : 0/100. ▌ORIGINES : Corse . ▌SITUATION SOCIALE : Je suis célibataire et orpheline. ▌METIER : //. ▌ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro mais n'a rien contre une petite expérience bisexuelle de temps en temps.
Caractère
Je n'aime pas me décrire, car je n'arriverais jamais à me comprendre entièrement. Pour cerner une parcelle de mon caractère je dois me poser et y réfléchir longuement. Seulement elle sont sans arrêt changeante. Je suis légèrement paranoïaque. Je ne fais confiance a personne, partant du principe qu'on va me trahir ou essayer de me manipuler. J'aime analyser les gens dans leurs gestes, deviner s'ils mentent ou s'ils disent la vérité, mais je ne peux pas supporter qu'on essaye d'en faire de même pour moi. C'est une généralité, je n'aime pas qu'on me fasse ce que je fais. J'ai longtemps cherché une religion, un culte auquel me vouer sauf qu'à chaque fois je me rendais compte que j'avais déjà enfreint une bonne partie des interdits. J'ai donc accepté de vivre sans raison, sans but. Pour moi La mort c'est la finale, le sommeil c'est l'entrainement, je suis incapable de me projeter dans l'avenir. J'ai l'impression que les gens qui sont à mes côtés sont maudit et je cherche désespérément une personne a qui faire confiance. J'ai tendance à m'isoler, mais si on me tend la main en général je suis très amicale. J'aime être inclue dans un groupe et protéger ceux qui me sont chers. Je m'inclue d'ailleurs souvent dans des conversations qui ne me concerne absolument pas et je me pose beaucoup trop de questions. Je suis très bavarde... Beaucoup trop bavarde. Oh, et au fait je suis folle.
Ta chienne de vie
Je ne vis pas dans le passé même si j'ai l'impression d'être broyée par celui-ci chaque nuit.
Avant même ma naissance mon père battait ma mère, qui un jour choisit de partir avec moi. Malheureusement pour votre curiosité je ne m'attarderais pas sur ce passage de ma vie puisque je ne m'en souviens presque plus. Effectivement j'ai tout fait pour l'oublier, si bien que je ne me rappelle plus que de la tête de mon géniteur et de seulement quelques brides de souvenirs. Quelques visions d'horreurs qui me hantent. Certaines nuits je me réveille les larmes aux yeux sans même avoir connaissance du rêve qui m'a mis dans cet état. J'ai toujours eu des problèmes de mémoire, ça a dû empirer avec le temps. Ma mère était une personne gentille, malheureusement je ne l'aimais pas. Chaque soirs elle pleurait en rentrant à la maison. Je détestais ça, moi qui me cachais pour pleurer, qui avait toujours tout gardé pour moi, qui avait quasiment oublié toutes les choses détestables que lui avait faites son père. Tout ça parce que j'avais l'impression de moins avoir souffert qu'elle. Ça me déchirait de l'intérieur. Pourtant, elle m'aimait. Enfin je crois. J'avais l'impression de porter malheur aux gens. Seule au monde, abandonnée. La nuit me paralyse, mes choix et opinions sont ils de moi, ou datent t'ils de 2000 ans d'humanité ? C'est peut-être à cette époque que je suis devenue folle. Je prenais un rasoir et chaque soirs dans mon bain où devant le miroir je me mutilais.
Ce reflet je le détestais. Je ne me trouvais pas vraiment moche, mais je ne supportais pas de me regarder, je voyais ma faiblesse dans mes larmes et je trouvais ça répugnant. Ça ne me faisait même plus mal, je croisais même les coupures. J'avais fini par customiser le rasoir pour que ça coupe mieux. Lorsque je voyais le résultat je sanglotais, horrifiée par le spectacle macabre. Je me surprenais quelquefois à écrire des mots. Bien sur tout cela était amplement caché par des manches longues. Même ça, ma mère ne s'en était pas rendu compte. Le jour de mes 15 ans, sans raison, j'ai choisi de m'enfuir de chez moi. Sur un coup de tête comme on dit. Je vivais dans la rue seulement quelques jours, au début j'écoutais de la musique, puis mon mp3 n'eu plus de batterie.
Certain soir je dormais chez des mecs que j'aimais bien, sans pour autant coucher avec eux. Il n'y en avait pas plus de trois. Ce n'était que des amis qui m'apprenaient à me défendre ou me donnaient des lames. J'en ai bien embrassé quelque un, mais ils respectaient le fait que je ne veuille pas coucher. Ils comprenaient que je n'acceptais pas d'être touchée par un homme à cause de mon géniteur. Le maximum qu'ils puissent obtenir était que je dorme dans leurs bras. Ces nuits me permettaient entre autre de prendre une douche et de retomber sur les cicatrices due aux coupures qu'avait subie ma peau. Certains de ces garçons essayaient de m'en parler, mais je me braquais et quittais les lieux immédiatement. Il n'y a rien de plus humiliant que l'on vous parle de quelque chose que vous haïssez chez vous.
C'est comme un tatouage indélébile. Un jour l'un d'entre eux m'a parlé d'une sorte de gang où je pourrais trouver ma place. Au départ je n'étais absolument pas convaincue, mais en leur rendant visite je les ai immédiatement apprécié. Ce n'étais pas une ambiance lourde, c'était une sorte de grandes familles mafieuses. Elle était majoritairement fondée par des jeunes de rue, mais le chef, celui qui était respecté par tous était lui par contre assez riche. On dormait tous dans un ancien hangar qu'il avait refait à neuf de manière à ce qu'il soit habitable, sans que ce soit le grand luxe. Je pense qu'on était considérés comme un gang car certaines fois nous étions un peu violent et qu'on ne semblait pas avoir de loi. Selon les dires il était comme nous avant, pourtant, il avait réussi à s'en sortir. J'avais discuté avec lui, c'était vraiment un homme bon. Il ne semblait pas attendre quelque chose de nous.
C'est aussi là-bas que je rencontrais mon premier vrai amour, j'ai su que je l'aimais dès que je le vis. Il était magnifique, mais contribuait à me faire sombrer encore plus. Il devait bien se rendre compte que je l'aimais puisqu'il se rapprocha de moi immédiatement. Au bout de seulement quelques jours je me considérais en couple avec lui, seulement je ne suis pas certaine que ce soit la même chose de son côté. C'est lui qui eu droit à ma première fois, moi qui semblais tellement durs à approcher, il avait pu m'avoir tout entière en seulement quelques jours. Il me fit aussi énormément de mal, cela aussi j'essaye de l'oublier. Malheureusement ça a visiblement du mal à disparaître.
C'est à cette époque que je découvris mon pouvoir. Je dormais dans ses bras lorsque tout à coup je sentis mon sang commencer à brûler. Je sortais du lit en me traînant presque avant de complètement tomber, ne plus pouvoir bouger. Je sentais tous mes membres s'enflammer et c'était bien le cas. Je n'avais pas mal, j'étais juste choquée. Toutes ces fois où je voulais frapper quelqu'un et que quelque chose à proximité s'était enflammé... C'était moi ? En prenant conscience de ce pouvoir je me mis à m'entraîner en secret. Un jour le gang fut dessoudé. Les autorités ne supportaient qu'un pseudo gang existe en ville. Mon amour disparu. Comme envolé. J'avais atteint mon 16 ème anniversaire. Pour soigner ma tristesse, je passais mon temps dans des bars tenus par des connaissances. C'est dans un de ces lieux que j'ai rencontré l'homme qui a remplacé mon père, Olver. Il m'arrive d'oublier que ce n'est pas mon père biologique. Il était beaucoup plus vieux que moi et au départ j'ai pensé que c'était simplement un pervers.
- Tu fous quoi ici à ton âge ? Dit-il étonné.
- Je suis majeur.
- J'vois ça. Ironisa-t-il. T'as nul pars où aller j'imagine ? Je ne répondis pas. Tu peux venir chez moi si tu veux.
- Pour me faire violer et séquestrer ? Sans moi !
- Non t'inquiète pas. Si je voulais une pute j'aurais choisi une femme, pas une gamine sans forme comme toi. Répondit il calmement.
- Espèce de petit connard !
- Tu viens ?
- Ok... Mais c'est juste parce que j'ai froid, je repars dès demain !
Pourtant, je passais un mois avec lui, je retrouvais un peu de bonheur et il ne me rejetait pas par rapport à ma maîtrise du feu. C'est durant journée ensoleillée que je me suis condamnée. Je passais une ruelle afin de raccourcir l'itinéraire que nous avions fait avec Olver. Un homme habillé en noir me pointât un pistolet sur la tête. Par reflex je calcinais son visage en une fraction de seconde. Mais j'aurais dû me douter qu'il n'était pas seul... Je reçu un coup violent sur la tête qui me fit tomber au sol, lorsque que j'ouvris les yeux, je vis Olver face à moi, sa tête maintenue au sol par une chaussure. Puis j'entendis une détonation et je vis une balle entrer dans son crâne. Son sang m'éclaboussa. Une seringue s'enfonça profondément dans mon cou, si bien que j'ai cru que c'était un couteau. Que j'étais morte. Malheureusement je survécu.
Ma tête tourne. Je crois que je vais vomir... Ma vue est floue mais j'aperçois ce que qui doit être un bâtiment. Prise de peur j'essaye de me dégager, mais cette tentative est vaine, les personnes qui me tiennent me serrent trop fort pour que je puisse bouger. Je m'écrase sur le carrelage froid. Je prends du temps pour refaire bouger mes jambes, elles sont engourdies. Lorsque je réussis enfin à me relever, bien qu'avec quelques difficultés, j'observe le lieu. Une salle peu remplie, semblable à une entrée, mais sans décorations. Je reprends mes esprits et me rappelle que je suis en terrain inconnu et que le mieux à faire est incontestablement de fuir. Je me retourne donc et me met à courir, mais les hommes de mains me repoussent violemment. Je retombe une deuxième fois sur le sol glacé. J'en conclus que je ne peux pas partir. Une femme me donne une tenue et des draps puis me dit d'aller dans ma cellule, ça doit être une gardienne. Je regarde ailleurs sans prendre la peine de l'écouter. Vexée par ce désintéressement elle m'attrape par la main et me secoue. Ce n'est pas le moment de me bousculer, ou de m'offenser. Je la regarde, essayant de lui faire comprendre mon dédain, j'ai l'impression d'avoir de la lave dans les veines.
Elle me lâche, sa main est rouge, comme si elle l'avait posée sur une surface brûlante. Je suppose que c'est ma maîtrise du feu, de toute façon ça ne peut être que ça. Je m'enfuis en courant vers l'étage supérieur lorsque je vois que la colère déforme le visage de la femme. Je n'ai pas besoin d'un guide pour savoir qu'agresser un représentant de l'autorité est néfaste puisque j'en ai déjà fait les frais. Le problème c'est qu'ici, on ne rigole pas avec l'autorité. Dans les jours qui ont suivi j'ai étais punie par une séance de torture qui m'a fait comprendre que dans cet institut on ne déconnais pas avec l'autorité. Cela fait quatre ans que je suis dans cet institut, durant les deux premières années je suis restée enfermée dans ma chambre, ne sortant que pour m'alimenter. Petit à petit j'ai commencé à avoir des contacts avec les pensionnaires, pour le meilleur et pour le pire.
Faites tomber les masques
ϟ Prénom :Juliette.ϟ Pseudo :Yolandi/venomania.ϟ Âge :15 ans.ϟ Région/Pays : écrire ici.ϟ Présence sur le forum /7j : 7 jours.ϟ Que pensez-vous du forum ?j'adore !!!.ϟ Où avez-vous connu le forum ?je cherchais un film genre sucker punch.ϟ Célébrité sur l'avatar :Yolandi ( die antwoord).ϟ Code du règlement :validé + bas.ϟ Un petit plus pour la fin ?bah.... .
Dernière édition par Yolandi S.R. Venom le Mar 30 Avr - 21:07, édité 9 fois
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Sujet: Re: Yolandi Sucre Red Venom (Sucrette) Dim 15 Juil - 12:17
Sujet: Re: Yolandi Sucre Red Venom (Sucrette) Dim 15 Juil - 12:51
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE camarade rouge ! *offre le gateau de l'amitié *_____* * "Sucre" ? Sérieux ? Pauvre gosse. 8DDDD *sbaff*
Bref. Je fais ma chieuse dès le début, désolée, mais il te faut un avatar en 200x320 ou 200x400, ni plus ni moins. Si t'as un soucis, tu peux toujours demander de l'aide au staff ou même aux membres. (: Pour le code du règlement, il faut surligner le règlement & il apparaîtra comme par magie. (a)
Et puis pour faciliter l'intégration des nouveaux membres, on a installé un système de parrainage ici, n'hésite pas à y faire un tour, si tu le veux. ~♥
En tout cas, merci pour ton inscription (& pour avoir choisi ce groupe *sbaff*) ! :DD Et bonne continuation de fichouille. ~
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Sujet: Re: Yolandi Sucre Red Venom (Sucrette) Dim 15 Juil - 13:04
Bon Lilou à tout dis haha =)
Je te souhaite tout de même la bienvenue parmi nous =) Si tu as des questions n'hésite pas ! Ton personnage a l'air flippant haha !
Sujet: Re: Yolandi Sucre Red Venom (Sucrette) Dim 15 Juil - 15:23
Bienvenue sur BYM !
Ta fiche ayant été terminée, j'ai le plaisir de te valider, et de t'ajouter dans le groupe EYES CLOSED ! J'aime beaucoup le caractère ! *w* Hâte de rp avec toi. ~♥ Tu peux à présent poster ta fiche de lien ici & de topic ici, & aussi commencer un journal intime si tu le juge nécessaire ici ! N'oublies surtout pas de venir recenser ton avatar ici et de pouvoir là ! Tu devras également faire une demande de cellule ici. Maintenant, tu as le droit (& le devoir (a)) de RP, et flooder dans les parties prévues à cet effet. Encore bienvenue et surtout n'oublie pas d'aller voir de temps en temps les News du forum, il peut s'y passer des choses intéressantes. Bon jeu !