Un enfant est né dans une famille moyenne au cœur de Lausanne en Suisse, c’était enfant ce dénommé Tobias, il ne savait pas encore mais il était destiné à avoir une vie mouvementée. L’enfance de celui-ci jusqu’à l’âge de ses 10 ans, se passa normalement, il n’avait aucune bavure, il avait des amis, il était apprécié par ses parents, ses camarades de classe et il faisait partie des meilleurs de la classe. Cette vie parfaite bascula le jour de son anniversaire.

C’était idiot mais le bon Dieu avait décidé qu’il devait naitre le jour de Noël, il avait donc beaucoup plus de cadeaux que les autres enfants à Noël mais souvent ceux-ci ont le thème de Noël, comme une boule, des chocolats, des chaussons en forme de sapin, il haïssait ce genre de cadeau surtout que ses grands-parents étaient des experts de ce genre d’objet. « Maman on est obligé d’aller chez Mamie . » « Oui... » Il soupira et accrocha sa boucle de ceinture, le chemin jusque chez ses grands pare n’était pas long mais la neige était dense à cette période. Il observait paisiblement le paysage lorsque soudainement, un choc violent se produisit, c’était comme si la foudre s'était effondrée sur la voiture, il avait mal à la tête due au choc mais il n’avait rien de cassé, il put malheureusement apercevoir à l’aide du rétroviseur que ce n’était pas le cas de ses parents. Il cria, le cœur lourd part cette image affreuse. Il sortit de la voiture et courut vers chez ses grands-parents, qui était encore à quelques mètres. Arrivant devant la maison, il n’y avait pas de lumière, il entra dans celle-ci et il put voir sa grand-mère, son grand-père tous deux raide devant la télé, il toucha le corps de ceux-ci ils étaient froids comme de la pierre. Il finit par prendre le téléphone et d’appeler les urgences. Le reste passa très vite, police, pompier, on lui posa des centaines de questions et trois jours après, il du voir quatre personnes de sa famille s’enterrer, les assistances sociales se battaient pour savoir où le refourguer mais le jeune homme n’avait pas conscience de ce qui lui arrivait. L’or de l’enterrement ses yeux fixèrent un homme avec une drôle d'allure, il ne le savait pas encore mais ce n’était pas la dernière fois qu’il allait le croiser.

Il fut placé chez sa cousine Adeline, la vie avait repris sa cour même si le jeune garçon refusait de manger et passer ses journées à prier pour qu’on lui redonne ses parents, des mois passèrent avant qu’il décide de laisser cette histoire en arrière. Il fut ravi de partager ses malheurs avec Adeline cette demoiselle était gentille, un peu chiante sur les bornes mais elle le comprenait. Ils étaient devenus copain comme cochon. L’été arriva vite et ils partirent en vacances au bord de la mer dans un camping. Une après-midi les deux enfants s’amusait à un jeu, lorsque sa cousine aperçut une chose brillé près des rails. « Regarde, y a un bijou. » « Attend Adeline son risque d’être dangereux. » « Mais non... » Il essaya d’empêcher celle-ci de s’approcher de cet endroit mais en vain, sa cousine était aussi têtue que lui. Oh moment qu’elle saisit l’objet, le bruit d’un train arrivait. « ADEEELINNE ATTENTIONNN ! » c’était trop tard, il se mit à hurler, pleurer de rage, sa cousine venait de mourir devant ses yeux. Une troupe de campeur alerté par ses bruits découvrir le désastre et étrangement il était aussi là, mais il s’attarda pas sur lui, la seule chose qu’il voulait c’était d’espérer qu’un jour les morts allaient s’arrêter.

Deux mois passèrent après la mort de sa cousine et ses parents avaient décidé de plus le gardé, les services sociaux lui cherchaient une famille et en attendant il devait rester chez eux. Il finit par fuir la maison un soir de peur que celle-ci soi bruler par sa faute et fit une fugue.

Il allait ou le vent l’emporté, il apprit rapidement à voler, pour se nourrir et de dormir dans des endroits fort inconfortables, il n’avait plus adressé la parole à personne depuis l’accident comme si sa voie était un fléau. Il aperçut plusieurs fois pendant sa cavale l’homme étrange mais il le fuyait comme la peste et après il ne le voyait plus pendant quelques semaines, mois.

Un an s'était passé depuis la mort de sa cousine, il allait avoir treize ans dans quelques jours et il finit par prendre route vers un endroit que sa mère avait mentionné plusieurs fois.

L’odeur des pains d’épices et des diverses délices d’Alsace le titiller l’estomac, nous sommes en plein hivers, au cœur du marché de Noël de Strasbourg, le jeune voleur s'était déplacé à pied depuis quelques mois pour arriver à temps dans ce lieu idyllique. Il avait souvent entendu sa mère lui parler de ce lieu, de cet endroit en hiver. Elle lui avait même promis qu’un jour ils seraient tous deux dans cet endroit. Malheureusement la vie, n’a pas voulu ainsi, sa mère était morte, son père aussi, ainsi que toutes les personnes qu’il avait aimées et il devait se faire à l’idée qu’il portait malheur. Il longeait les cabanes du marché et observé avec avidités la nourriture, le vin chaud. Il avait froid, faim et quoique son objectif était atteint, il se sentait pas tranquille dans cette grande ville. Quelque temps avant il avait remarqué un homme, par n'importe lequel, l’homme qu’il avait vu le jour de l’enterrement de ses parents, le même jour ou l’accident du train avait tué Adeline, étrangement à chaque fois qui lui arrivé malheur celui-ci était présente. Il avait peur d’imaginer tout ça, que son imagination lui faisait des tours. Il préféra alors ignorer sa crainte et de se mettre à la chasse d’un pigeon, une personne qui pourrait lui offrir un repas.

Une demi-heure après avoir aperçu l’homme en question, il fit soulager de constater qu’aucun attentat s'était produit et que tout allait bien. Il finit aussi par trouver la cible idéale, un homme, à la démarche gracieuse, le dos bien droit et un rolex sur son bras. Il avait enfin trouvé la personne idéale pour son vol. Il s’approcha de sa victime avec douceur. Il savait qu’il avait la chance que la foule fût si dense. Sa main s’approcha avec douceur du poignet de l’homme et il ouvrit la fermeture de la montre, c’est à ce moment-là que l’homme se retourne et lui agrippe son poignet, il émit un petit cri de terreur dû à ce revirement de situation. Il essaya de se dégager le mieux qu’il pouvait mais en vain, la force de celui-ci était supérieure à la sienne. Le sourire satisfait sur les lèvres de celui-ci le fit frémir. « Mon garçon tu viens avec moi. » « Aidez moi ! » S’écria-t-il, ça faisait si longtemps qu’il n’avait pas parlé que les sons lui faisaient mal à la gorge, étrangement tout le monde était en train d’observer la scène, sans pour autant réagir « Ne faites pas attention mon neveu et capricieux. » bredouilla-t-il comme mensonge, logiquement une personne l’aurait lâché, dû à la honte qu’il était en train de lui faire mais lui n’avait pas l’attention de laissé tranquille. Il sentait que sa vie était en danger et il finit par mordre la main de l’homme qui lâcha aussi tôt sa poigne réellement surprise et il se mit à courir de toutes ses forces, il arriva dans une ruelle où personne ne devait trainer, il se permettait de jeter un coup d’oeil derrière lui et la dernière chose qu’il put voir avant de se faire assommé par un complice était l’homme qui était le fautif de tous ses malheurs, il avait un sourire narquois aux lèvres et puis trou noir. Le voilà entré dans l’institut...

ϟ Prénom : Laetitia. ϟ Pseudo : Nuanciel. ϟ Âge : 21 ans. ϟ Région/Pays : Moselle. ϟ Présence sur le forum /7j : 7/7 car je suis au chômage, sinon 4/7.. ϟ Que pensez-vous du forum ? J'adore le contexte, ensuite je verrais part la suite si je m’intègre. ϟ Où avez-vous connu le forum ? PDR. ϟ Célébrité sur l'avatar : Asa Butterfield. ϟ Code du règlement : Validé par Lilou ! ϟ Un petit plus pour la fin ? J'espère que vous aimez les petits :D.