La balade était magnifique, j’ai mal au ventre tellement que j’ai ris, mes abdominaux me crient d’arrêter mais je ne peux pas m’arrêter à chaque fois que j’essaye de prendre mon souffle et d’arrêter de rire, une autre crise m’arrive, que ce soit du au passant, ou encore juste comme ça.

Je pensais qu’on avait fini, je dessers la pression que j’exerce sur lui, lorsqu’il me fit signe que ce n’était pas finit, je le serre de nouveau ou m’emmenait-il ? Il avait fait quasiment toute l’institut, lorsqu’on arrive au parc, mes yeux s’émerveillent pas la verdure, on peut sortir alors ? Il doit avoir une porte quelques par, oui une porte, pour fuir.
Soudain mon environnement se transforme, je sens une pression d’air sur moi, une vitesses, sans compter que j’ai du mal à comprendre ce qui m’arrive, quelques secondes dans les airs me voilà de nouveau sur la terre ferme, le choc fut brutal sans pour autant au point de me créer un bleu, ni me faire saigner, je ne bouge pas car mon atterrissage à réveiller la douleur des bleus et des blessures que j’avais reçu à mon arrivé ici, je grimace de douleur. Le visage de mon camarade ce retrouve au-dessus de moi, il a l’air d’en s’en vouloir.

« Pardon, pardon, pardoooooooon !!! J'suis désolé, j'ai toujours été un boulet, tu vas bien ? Rien de cassé ? »

Je lui adresse un sourire pour ne pas l’inquiéter, je me redresse pour me retrouver assis et je me retiens d’émettre un son de douleur, mais une grimace s’empare de moi, je finis par chasser sa culpabilité avec seulement quelques mots, enfin j’espère. « Oui, je vais bien. J’ai connue pire. »

Je m’aide de mes bras pour me retrouver debout, je me tiens à lui lorsque ma tête se met à me tourner car je me suis levée bien trop vite. « Qu’est-ce qui sait passer, tu ne t’es pas fait mal toi ? »

Mes yeux se posent alors sur le corps de mon camarade et inspecte celui-ci silencieusement, après tout, tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort non ? Je finis par le quitter de mes yeux, pour vérifier si je peux lui poser la question qui me brule mes lèvres « Il nous laisse sortir ? »

Je lui adresse un autre sourire et je me déchausse mes pieds pour me retrouver pied nues et apprécier le contacte agréable de l’herbe sur mes pieds, j’avais une soudaine envie de jouer au loup où a d’autre jeu de mon enfance, cependant je ne fis rien.