Dossier médical ▌Niveau du pouvoir: (74/100) ▌RP ?: Non ... ▌Relations:
Sujet: Ella Robertson ○ Ella, elle l'a ♪ Mer 7 Nov - 16:03
Ella Luna Anaïs Robertson
J'ai beau faire le tour du monde, mais tout me ramène a toi, t'es partout a la fois.
▌SURNOM : Ell', la Renarde, l'Espionne, la Fouine. ▌GROUPE : The Corrupted, même s'il lui arrive souvent de se faire passer pour une rebelle - voire une eye's closed -, pour les espionner. ▌AGE : 20 ans. Mais grâce à son pouvoir, elle peut en faire moins comme plus. ▌DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Un 13 janvier, à Bristol. ▌POUVOIR/SPECIFICITE : Changement d'apparence, elle maîtrise bien son pouvoir grâce à ses fréquents et exténuants entraînements. Ses deux formes fêtiches sont : Yuna la japonaise et Sarah la blondinette. ▌NIVEAU DU POUVOIR : 70/100. ▌ORIGINES : Anglaises, un peu yougoslaves, un peu finlandaises, un peu autrichiennes. A vrai dire, la demoiselle elle-même n'est pas totalement sûre de ses origines. Ses parents étaient un patchwork d'origines à eux tous seuls ! ▌SITUATION SOCIALE : Officiellement, elle est célibataire. Officieusement, c'est une autre histoire... Et elle a trois frères, dont un qui est censé être mort. ▌METIER : / ▌ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle. Disons qu'elle prend ce qui passe, bien qu'elle ne sache pas ce que c'est, l'amour, le vrai.
Caractère
Ella a un caractère qui change beaucoup en fonction de la personne qu'elle a en face.
Avec les membres du personnel, elle est souriante et gentille. Et hypocrite, surtout. Elle cherche à se les mettre dans la poche, et aime bien passer du temps en leur compagnie, principalement parce qu'elle a bien compris que pour survivre, il faut s'allier les meilleures personnes possibles.
Avec les corrompus, elle est rigolote et pleine de vie. Etonnament franche, tout ce qu'elle garde pour elle à longueur de journée ressort brusquement quand elle est en compagnie de ses camarades, et elle se lâche complètement. A ce moment-là, ils ont devant eux une Ella complètement différente et sociable, qui ne pense plus à toutes ses histoires de manipulation et se détend enfin. De plus, la demoiselle adhère totalement aux idéaux de Stark. Son pouvoir est, selon elle, la meilleure chose qui lui est arrivé dans sa vie, tout comme son arrivée à l'institut, qui l'a sauvée. Il ne lui est jamais venu à l'esprit de s'enfuir.
Avec les eye's closed, elle est extrêmement manipulatrice et bonne menteuse. Pour approcher les petits nouveaux, il n'est pas rare qu’elle fasse également semblant d'en être un, en changeant d'apparence pour en arborer une un peu plus passe-partout. Egalement séductrice et déterminée, rien ne l'arrête et elle est prête à tout pour arriver à ses fins et corrompre les petits pensionnaires.
Avec les rebelles, elle est condescendante et méprisante. Elle n'est absolument pas d'accord avec eux, et ne manque pas une occasion pour le leur faire comprendre. Elle aime énormément se moquer d'eux et leur en faire voir de toutes les couleurs, en se faisant passer pour quelqu'un d'autre et en charmant les plus faible afin de leur faire avouer des informations, avant de les lâcher comme des déchets. Elle ne leur dévoile jamais ce qu'elle pense réellement et passe son temps à leur mentir. Pour elle, c'est bien simple : si les rebelles arrivent à atteindre leur but, c'en est fini d'elle.
En plus, la demoiselle est une personne vraiment très joueuse, capable de relever tous les défis tant qu'ils n'impliquent pas de bagarre. Elle est aussi fuyante comme de l'eau de source et discrète, laissant ses oreilles traîner partout tout en évitant les combats, quitte à prendre la fuite. Elle n'aime pas se battre, malgré que son pouvoir lui permette d'augmenter sa force musculaire (lui pompant ainsi beaucoup d'énergie). A vrai dire, elle préfère créer les ennuis grâce à son talent de fouine, et voire les autres échanger des coups, plutôt que d'en faire partie et d'être blessée. Assister à des batailles, elle adore ça.
Ta chienne de vie
13 janvier, Hôpital.
« Monsieur Williams ? Le travail a commencé ! Voulez-vous venir auprès de votre femme ? » L'homme ainsi interpellé, jeta un regard perdu à ses deux fils qui, dans un coin de la salle d'attente, jouait aux avions. Comment pourrait-il laisser ces deux turbulents petite garçons tous seuls ? A coup sûr, quand il reviendrait, les garnements auraient tout saccagé. Il déclina donc gentiment l'offre de l'infirmière, qui retourna dans la chambre pour tenir compagnie à la femme. Cette dernière accoucha dans des conditions atroces et souffrit énormément. Elle avait refusé de prendre des médicaments, pour une raison qui lui échappait à elle-même. Elle le regrettait maintenant, amèrement. Néanmoins, une fois le bébé arrivé, elle put enfin se reposer. Elle rejeta d'un vague geste de la main l'enfant que les médecins lui proposaient, sans daigner une seconde le prendre dans ses bras. Quand l'infirmière lui demanda le nom de la petite fille, ce fut d'une voix éteinte que Vanessa lui répondit : « Ella. Luna. Anaïs. » A vrai dire, elle hésitait entre ces trois prénoms, ne se souvenant plus de celui qu'elle avait choisi avec son mari. Elle était un peu trop sonnée pour réfléchir correctement. Les médecins crurent que c'était là le prénom du bébé. Alors ils le notèrent dans l'acte de naissance. Et c'es comme ça que la petite fille sera appelée jusqu'à sa mort, par un prénom qui à l'origine ne lui était pas destiné. Pendant ce temps, dans la salle d'attente, le père souriait paisiblement, en regardant ses deux fils se battre gentiment. A travers eux, c'était son autre fils qu'il voyait. Son fils âgé de dix ans. Son fils malade. Son fils qui allait mourir. « Tu es sauvé... » chuchota-t-il. Et il était si soulagé, qu'il aurait pu danser sur les chaises comme un fou. La peur de perdre son enfant adoré avait enfin disparu, ne restait donc maintenant en lui plus que la joie et le soulagement.
Dix ans plus tard, Bristol.
« Maman ? Maman ? » Ella secouait le bras de sa mère, qui dormait sur le canapé. Cette dernière gémit faiblement, puis la repoussa sans ménagement et se détourna. Elle voulait dormir, pourquoi donc sa fille tentait de l'en empêcher ? Elle lui avait tout de même donner naissance, en contrepartie, elle attendait un minimum de respect. Et pourtant, non. Et pourtant, la gamine s'obstinait, nullement dérangée par l'ignorement de sa génitrice, qui se redressa brusquement, furieuse. « Mais qu'est-ce que tu me veux ? » Vanessa se releva, ses prunelles lançant des éclairs dans toute la pièce. Si ses yeux étaient des flingues, elle aurait tout détruit sur son passage. Elle, largement impressionée, se mordilla la lèvre supérieure, mais prit pourtant la parole. « C'est... c'est Jason... il a... » Sa mère se figea brusquement, puis se releva à toute vitesse et courut dans la chambre de son fils aîné. Ella, restée dernière, se tortillait timidement les mains, sans savoir que faire. Et elle était jalouse. Extrêmement jalouse. Elle n'aurait jamais manifesté d'attention aussi vive de la part de sa mère, elle, quand bien même elle aurait été malade et sur son lit de mort. Des fois, elle rêvait d'être à la place de ses frères. Non, souvent. Pourquoi n'était-elle pas autant aimé qu'eux ? Elle se le demandait parfois. Elle se le demandait souvent, en fait. Pourtant, au fil du temps, elle commençait à s'habituer à la situation, et c'était peut-être ça le pire... Elle courut à petite foulée jusqu'à sa chambre, où elle s'enferma pour se rouler en boule sur son lit et fermer les yeux, ressassant seule et dans son coin toute sa tristesse et sa rancoeur. Il lui arrivait souvent de prier pour pouvoir être quelqu'un d'autre, vivre une autre vie, ne serait-ce qu'un jour. Si seulement elle savait que ce voeux dépasserait un jour toutes ses espérances, peut-être ne l'aurait-elle pas formuler de cette façon.
Quatre ans plus tard, Bristol.
La petite demoiselle regardait fixement dehors, par la fenêtre de sa chambre, le regard totalement vide et le visage sans expression. Elle réfléchissait. Elle souffrait en silence. Elle venait d'apprendre le décès de son frère. Ainsi qu'une nouvelle à laquelle elle ne s'attendait pas. Un clignement d'yeux plus tard, elle détourna lentement la tête, attrapa une photo de son aîné sur sa commode et l'observa, sans rien dire. Il semblait si heureux là-dessus, riant aux éclats devant sa mère qui souriait largement. Il était plus détendu avec sa génitrice qu'Ella ne l'avait jamais été. Un sourire déçu apparut sur son visage, témoignage de la trahison qu'elle ressentait au plus profond d'elle-même. Elle aurait voulu hurler, crier à s'en faire exploser les cordes vocales, pleurer jusqu'à se déshydrater complètement. Mais elle se retint. Elle était trop habituée à rester discrète et silencieuse... « Je suis née pour que tu vives. Tu n'aurais pas dû mourir avant moi. » Elle murmurait si bas qu'elle-même avait du mal à entendre. Comme si briser trop profondément le silence de la pièce reviendrait à détruire le monde entier. Ce jour-là, sa mère, ivre de désespoir et de tristesse, lui avait avoué qu'elle n'était pas une enfant véritablement désirée. Si Ella était née, c'était pour un seul but. Sauver la vie de son frère, atteint d'une grave maladie. Mais même ça, elle ne l'avait pas réussi. L'adolescente laissa retomber la photo par terre, dont le verre se brisa, puis appuya très fort ses paumes contre ses yeux, comme pour tenter de les faire disparaître dans leurs orbites. Elle avait envie de disparaître, de mourir, de se laisser absorber toute entière par la terre. Et elle aurait pu rester comme ça éternellement, si sa mère n'était pas entrée en trombe pile à ce moment-là. Elle se jeta sur sa fille, furieuse, avec un regard fou. « C'est toi, hein, c'est toi ? » Ella ne comprenait rien, trop terrifiée pour bouger, et trop surprise, également. Vanessa lui passa ses mains autour de son cou, mais ne serra pas tout de suite. Elle attendait une réponse, mais était trop enragée pour réfléchir ne serait-ce que deux minutes. « LE CORPS DE TON FRÈRE ! J'ai toujours su que t'étais folle, j'ai toujours sur que t'étais malade ! C'est toi qui la volé, HEIN ? » Elle hurlait, elle était méconnaissable, le visage totalement déformé par la rage. Ella écarquilla des yeux, des larmes roulant sur ses joues. Elle ne comprenait pas. Pourquoi elle ? Pourquoi tout lui tombait toujours dessus ? Pourquoi était-elle à chaque fois le bouc-émissaire ? Elle n'esquissa même pas un seul geste pour se défendre, tandis que sa génitrice commençait à l'étrangler, à serrer de plus en plus fort son cou, dans le but évident de la tuer. Mais elle fut interrompue par son mari, qui l'écarta sans ménagement. Et l'adolescente, ainsi libérée, prit la fuite, sans réfléchir une seule seconde. Elle passa par la porte d'entrée et courut, sans rien emporter, vers une destination qui lui était inconnue, se contentant de partir le plus loin possible. Elle courrait, tout simplement, sans regarder derrière elle, pour fuir sa famille. Pour fuir sa vie. Aucun retour en arrière ne serait possible. Et elle le savait. Mais elle l'acceptait. Elle ne pouvait plus vivre dans cette maison qui n'avait jamais voulu d'elle.
Quelques jours plus tard, dans une rue inconnue.
Elle n'en pouvait plus. Elle était épuisée, courbaturée, avait faim et froid. Depuis sa fugue, elle n'avait trouvé à se mettre sous la dent que de vieilles miches de pain, qu'elle avait mendiées devant un boulanger, qui ne lui avait d'ailleurs porté qu'une attention limitée et pleine de dégoût. Ses vêtements étaient sales, mais elle n'en avait même plus conscience, elle ne s'en souciait nullement. Et de toute manière, elle-même était sale. Ça faisait plusieurs jours qu'elle ne s'était pas lavée et pourtant, son odeur corporal qui ferait fuir n'importe qui était le dernier de ses soucis. Seul son ventre vide lui importait, en fait. Elle n'avait jamais eu aussi fin de sa vie. Mais elle n'avait jamais été aussi perdue, triste et sans force. Elle aurait bien voulu s'allonger pour ne plus se relever. Pourtant, elle ne cédait pas à cette pulsion. Ça ferait trop plaisir à sa mère. Rien que voir le visage de cette dernière arrivait à emplir l'esprit de l'adolescente de haine, faisant disparaître un instant les volutes qui obscurcissait son cerveau et ses yeux. Elle avait l'impression qu'elle allait devenir aveugle. Pour le moment, ça ne lui importait pas trop. Alors qu'elle marchait, au petit bonheur la chance, en pompant dans son réservoir fortement réduit de force, deux silhouettes s'approchèrent d'elle. Et contrairement à ce qu'on pourrait croire, elle n'eut pas peur. Au contraire. Elle se disait qu'ils allaient l'aider, au lieu de l'éviter comme tous les autres passants. Et ça ne manqua pas. Ils l'aidèrent même un peu trop. « Ella Luna Anaïs Robertson. » L’interpellée hocha la tête, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. Sur le moment, elle ne s'étonna même pas qu'ils connaissent son nom, elle trouvait ça tout à fait normal. « Nous sommes là pour t'emmener dans un endroit meilleur. » Nouveau hochement de tête. Pas de questions. Ça lui semblait si clair, sur le moment... Pour elle, un monde meilleur serait un monde où elle pourrait manger à sa faim. Et seulement ça, ça lui suffisait. L'homme qui n'avait pas dit un seul mot depuis le début, sortit de son sac une barre de céréale, qu'il tendit à l'adolescente. Elle l'engouffra sans demander son reste, en prenant à peine le temps de mâcher. Puis, elle les suivit docilement jusqu'à leur voiture. Et s'endormit sur la banquette arrière. Quand elle se réveilla, elle se trouvait dans une cellule. A l'institut Stark.
Quatre ans plus tard, Institut Stark.
« JOYEUX ANNIVERSAIRE ! » Elle ouvrit immédiatement les yeux, et bondit de son lit. Ses amis corrompus étaient présents, et lui souriait. Ce jour-là, elle allait avoir dix-huit ans ! Un grand sourire illumina le visage de la demoiselle, qui se précipita sur chacun d'eux, pour les serrer dans ses bras. Elle n'était jamais vraiment démonstrative, d'habitude. Et quand elle l'était, ce n'était que pour les autres corrompus, de toute manière. « Pour ton cadeau, on a convaincu Stark de te laisser sortir ! N'oublie pas ta promesse de te faire un tatouage, hein. » Ella éclata de rire, puis les bouscula et fila s'habiller. Elle débarqua ensuite dans le réfectoire, pour manger avec ses camarades, toute ignorant ostensiblement les rebelles, à qui elle lançait tout de même parfois des regards méprisants. Puis une fois le repas finit, elle sortit de l'institut, qu'elle n'avait pas quitté une seule fois en quatre ans. Ça lui faisait peur, même si bien sûr, un membre du personnel était là pour l'encadrer. Elle se dirigea vers le salon de tatouage, sachant déjà très bien ce qu'elle voulait se faire faire. Et pour preuve, dès qu'elle eut mis un pied dans la boutique, elle s'exclama : « Bonjour ! Je viens pour une hirondelle. » Elle avait toujours admiré ces oiseau et leur liberté. Après s'être installé le plus confortablement possible, une tatoueuse vint lui demander où elle le voulait. Ella ne réfléchit qu'une seule seconde. « Juste sous le sein droit, s'il vous plaît. » Elle souleva son tee-shirt, en tentant de ne pas regarder l'aiguille qui s'approchait de sa peau. Pour elle, la peur était le plus mauvais maux de l'univers. Elle détestait avoir peur, alors dès que quelque chose l'effrayait, elle tentait de lever la tête pour transformer ce sentiment en courage. Et c'est ce qu'elle fit, là. Elle fixa l'aiguille, frémissant quelque peu. Pourtant, toutes ses peurs ne prenaient pas fin aussi facilement. Elle avait toujours aussi peur d'avoir assez faim pour envisager de tenter le cannibalisme. Elle n'avait pas oublié la seule et unique fois où elle avait ressenti ça et se réveillait parfois en sursaut, frissonnante et terrifiée, tandis que dans son cauchemars, elle s’imaginait dévorer un inconnu qui ne lui avait rien fait. Le tatouage fut terminé, al tatoueuse lui mis un pansement, et ce fut fini. Ella et son accompagnateur rentrèrent à l'institut, t la demoiselle profita de la fin de la journée pour fêter son anniversaire comme il se doit. Ce jour-là, il n'y eut ni manipulations, ni mensonges : elle se contenta de traîner avec les corrompus, ignorant les rebelles, sans même essayer de le cacher.
Un an plus tard, Institut Stark.
Elle se posta devant un miroir et activa son pouvoir. Ses cheveux de roux prirent une teinte de plus en plus foncées, jusqu'à devenir aussi noir que les plumes d'un corbeau. Ensuite ses yeux, qui se bridèrent légèrement et adoptèrent une couleur mousse au chocolat, avec de minuscules pailletés dorées qui ne se voyaient qu'à la lumière. Son nez s'écrasa légèrement, ses lèvres gagnèrent du volume et sa peau perdit sa teinte presque blanche. La première partie était terminée. Elle poussa un profond soupir, avant de s'attaquer au reste. Sa silhouette déjà relativement petite abandonna tout de même quelques centimètres, tandis que sa poitrine prenant une demi-taille en plus, que ses doigts devinrent plus fin, ainsi que ses cuisses et ses bras. Elle avait fini sa transformation. Elle prit une seconde pour respirer, puis tournoya sur elle-même afin de vérifier que tout était parfait. C'était bien le cas. Elle sourit et entamé son deuxième changement. Ses cheveux se raccourcirent et prirent une teinte blond platine, d'une couleur lumineuse et éclatante, sa peau devint blanche et presque translucide, trouvée par deux grands yeux bleus perçant, ses lèvres s'affinèrent jusqu'à ne plus devenir qu'une mince libre sur son visage, et ses joues perdirent toute rondeur. Elle se grandit d'une bonne vingtaine de centimètre, pour arborer une taille de mannequin, avec la silhouette qui correspondait, c'est-à-dire des cuisses fines, un ventre plat et une poitrine relativement bien proportionnée. Cela fait, elle s'observa un instant, sous toutes les coutures, moyennement satisfaite du résultat. L'effort qu'elle fournissait pour tenir un corps si différent du sien augmentait son rythme cardiaque et affolait sa respiration, qui se faisait de plus en plus hachée. Puis finalement, elle se laissa tomber sur son lit, alors que la transformation revenait doucement en arrière, pour qu'elle puisse récupérer sa forme normale.
Faites tomber les masques
ϟ Prénom :Maman Nowel.ϟ Pseudo :Pamperika.ϟ Âge :0,0 ans °°.ϟ Région/Pays :Laponie (a).ϟ Présence sur le forum /7j :Jamais.ϟ Que pensez-vous du forum ?Il fond dans la bouche. *____*ϟ Où avez-vous connu le forum ?Dans un super-marché. ϟ Célébrité sur l'avatar :Ebba Zingmarkϟ Code du règlement :Validé.ϟ Un petit plus pour la fin ?Je suis Lilou, alias Aidan, alias la Meilleure De Tout Le Monde Entier (MDTLME).
Dernière édition par Ella Robertson le Jeu 8 Nov - 14:19, édité 2 fois
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Sujet: Re: Ella Robertson ○ Ella, elle l'a ♪ Jeu 8 Nov - 10:46
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Ta fiche ayant été terminée, j'ai le plaisir de te valider, et de t'ajouter dans le groupe THE CORRUPTED ! J'adoooreuuuuhhh <3 ET puis ton vava est fantastique . Tu peux à présent poster ta fiche de lien ici & de topic ici, & aussi commencer un journal intime si tu le juge nécessaire ici ! N'oublies surtout pas de venir recenser ton avatar ici ! Tu as désormais le droit (& le devoir (a)) de RP, et flooder dans les parties prévues à cet effet. Encore bienvenue et surtout n'oublie pas d'aller voir de temps en temps les News du forum, il peut s'y passer des choses intéressantes. Bon jeu !