Sujet: » C'est comme une toile d'araignée : plus on se débat et plus on est condamné. Jeu 13 Juin - 22:25
Casildey James Downey
« Ceux que nous aimons, nous pouvons les haïr. Les autres nous sont indifférents. »
▌SURNOM : Cady. ▌GROUPE : The Corrupted. ▌AGE : 22 ans. ▌DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 14 septembre 1990 à Washington. ▌POUVOIR/SPÉCIFICITÉ : Élémentaire Terre. ▌NIVEAU DU POUVOIR : 30/100. ▌ORIGINES : Américain. ▌SITUATION SOCIALE : Célibataire, orphelin. ▌ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel.
Caractère
Le jeune Downey est avant tout quelqu'un qui profite à fond de la vie. La déprime, la solitude, le désespoir, la tristesse et le chagrin ne sont pas pour lui. Dans son répertoire de musique vous ne trouverez que les derniers tubes qui cartonnent et qui bougent. C'est surement son meilleur côté, le moins sombre. Néanmoins en profitant de sa vie il fait des choses extraordinaires certes, mais prend du plaisir à manipuler les gens.
Mais Casildey est aussi quelqu'un de très dangereux. Non pas parce qu'il est, disons, puissant et influent mais parce que c'est un manipulateur extrêmement doué. Il possède des griffes qui vous tiennent jusqu'à ce qu'il obtienne ce qu'il veut. C'est un homme tout simplement horrible dont le sort qu'il juge le plus favorable pour ses victimes est la mort. Il peut jouer avec vous de la pire manière qui soit et arrive en général à obtenir ce qu'il veut en vous brisant consciemment ou inconsciemment car c'est quelqu'un de très intelligent avec un quotient intellectuel assez élevé. Il peut tuer sans laisser beaucoup de traces ou peut facilement créer une fausse piste.
Mais, me diriez-vous, comment arrive t-il à séduire ses victimes ? Et bien c'est un manipulateur, un calculateur et un charmeur. Malgré toute votre bonne volonté, que vous l'aimiez, l'adoriez, l'appréciez ou le détestiez vous vous sentez encore et toujours attiré par lui d'une certaine manière. Un peu comme un aimant. C'est un peu comme un prédateur, tout chez lui est fait pour plaire, son regard, son physique, son odeur, et même son comportement "visible" (c'est à dire quand il ne fait pas de choses illégales). Et Casildey a totalement conscience de sa persuasion et il sait l'utiliser. Soit il vous approche soit vous l'approchez de vous même. Puis il vous séduit, vous êtes charmé et vous serez prêts sans doute à faire des choses pour lui. Quand il en aura marre de vous ou de vos services il vous jettera comme un vulgaire sac sans importance sans qu'il ne soit blessé ou touché par son geste. Il est totalement indifférent aux émotions des autres. L'indifférence est son caractère principal.
Il n'a aucune accroche et ne s'attache généralement pas aux choses, c'est d'ailleurs son dicton. Ainsi il s'adapte facilement aux nouvelles situations et c'est comme cela qu'il a réussi à s'intégrer au cœur de l'institut Stark. James est un homme avant tout arrogant qui se vante de ses qualités physiques surtout et de son génie. Il en est particulièrement fier et le démontre bien ce qui peut agacer son entourage en revanche. Ainsi même s'il attire en dehors à l'intérieur il peut parfois être assez maladroit dans ses paroles et/ou ses actes.
On pourrait carrément l'intégrer dans un asile pour fous.
Ta chienne de vie
Je m'appelle Casildey, nom donné par mon père et ma mère me donna le deuxième prénom de James. Je suis né Downey, fils unique du vice-président des États Unis d'Amérique : Obhadja Downey. Ma mère est morte à mes deux ans et je fus élevé par différentes nourrices que je détestais pour aucune raison particulière à vrai dire. Mon père ne s'occupait jamais de moi et ce fut son erreur. Il avait toujours du travail et dinait très peu souvent à la maison. Je manquai alors d'amour paternel. Il ne m'a jamais dit qu'il m'aimait ni même qu'il était fier de moi. Je fus envoyé de force à l'internat dés mes dix ans dans une école privée très réputée dans le pays pour les réussites des élèves qui étaient passés par là. C'était en général des cas que l'on mettait ici, en autre des jeunes plutôt agréables. Les autres garçons se moquaient de moi et me battaient parfois parce que j'étais le fils du vice-président. Ce même homme que peu de monde appréciait pour son ambition. Je me laissai faire, j'avais trop honte et beaucoup trop de fierté pour avouer ce que l'on me faisait à mes professeurs ou à mon père. De toute façon il n'en aurait rien fait et s'en serait complètement fichu insinuant qu'il avait une réunion importante sans doute plus importante que les problèmes de son fils, de sa chaire, de son propre sang. Alors je ne disais rien. Mais dans ma tête les choses tournaient différemment.
Vers mes douze ans je remarquai ô combien mon esprit était étendu et intelligent. Alors je tentai des choses, d'abord virtuelles, sur l'ordinateur avec des logiciels de piratage et autre crées par ma propre personne. Je devins habile avec la technologie et me construit des petits robots et des objets utiles. Puis je voulus passer à autre chose. Alors à l'école je fis des "blagues" plutôt méchantes à ceux qui me tabassaient, ayant comme une soudaine envie de vengeance, la colère emplissant mon corps. Et on ne me pris jamais la main dans le sac. Mais comme cela était bien prévisible les garçons se vengèrent à leur tour et d'une façon assez horrible. Je voulus d'abord m'y opposer mais j'étais seul, tout seul, comme toujours. Je n'avais que très peu d'amis. Ils me laissèrent là, dans un coin de la cour, replié sur moi-même pendant que je réfléchissait à la meilleure manière de me débarrasser d'eux.
C'est là qu'elle s'approcha de moi, cette fille de mon âge, membre de l'internat, blonde aux yeux couleurs noisette. Une vraie beauté. Elle s'agenouilla à mes côtés et me demanda pourquoi j'avais ces bleus, et pourquoi je faisais cette tête. Elle me remonta le moral et on parla. Maya. C'était son prénom. Elle était la joie incarnée et bien vite elle m'apprit qu'il fallait profiter de la vie au maximum et ne pas me reclure dans mon coin, subissant le monde et ses atrocités. Grâce à elle ma vie prit un autre tournant et je décidai de la reprendre en main. Je voulus bien évidemment me venger une nouvelle fois de ces garçons mais elle mit sa main sur la mienne disant que cela n'arrangerait rien. Puis à mes quinze ans j'intégrai le lycée et à mon plus grand bonheur Maya fut inscrite dans le même que le mien. Plus elle grandissait et plus elle devenait jolie. Nous étions désormais meilleurs amis mais notre relation d'amitié se changeait graduellement en amour sans pour autant que l'un ou l'autre tente de se confier à l'autre. Car si cela se produisait notre lien serait bouleversé et notre amitié de même. Et en aucun cas l'on voulait ça. Bien évidemment elle devint populaire auprès des garçons et je m'inquiétais toujours lorsque certains s'approchaient trop d'elle. Mais elle avait tout de même un peu de caractère et ne se laissait pas faire.
Quand nous eûmes tous deux entre seize et dix sept ans, chacun avait une voie différente pour son avenir. Maya voulait devenir une grande scientifique qui étudierait les plantes, et moi je voulait devenir ingénieur, fabriquant d'armes pour l'armée. Maya était plutôt contre mais ne pouvait pas vraiment me faire changer d'avis. Et puis plus le temps passait plus je devenais de plus en plus amoureux d'elle, séduit par l'être irrésistible qu'elle était. Je l'aimais comme je n'avais jamais aimé mais je la détestais également, car elle ne m'aimait pas autant et je ne pouvais le lui révéler ou notre amitié serait fichue. D'autant plus que j'avais l'impression qu'elle prenait un malin plaisir à me tourner la tête en sortant avec différents mecs. J'étais comme son grand frère pour elle. Quand elle les larguait je ne disais rien, riant intérieurement, et quand c'était elle qui se faisait larguer je rencontrai ses exs Autant vous dire que ma haine envers elle croissait de plus en plus autant que mon amour. Que faisais-je à ses exs malsains ? Je les tabassais sans aucune retenue sans qu'elle ne le sache. Ayant peurs ils ne disaient rien. C'était pour moi une sorte de vengeance envers les garçons d'autrefois qui me frappaient. Jusqu'à ce qu'un jour l'un d'eux fit une chose assez bête. Il voulut se défendre avec un couteau de poche, et cette arme atterrie, bien malgré lui, dans une de mes mains. Je le frappais alors avec. Je ne me rendis compte de ce que je fis que lorsqu'il ne bougeait plus. Alors je le cachai et soigna le crime avec mon génie pour que l'on ne me relit pas au meurtre. Mais j'avais du sang sur les mains, et pas métaphoriquement parlant. Il coulait lentement, écarlate sur mes doigts puis le le long de la lame. Curieux, je léchai ce liquide et le trouvai fort gouteux.
C'est ainsi que le goût du sang, de la mort et de la souffrance me pénétra. Je décidai alors d'y prendre plus attention, ainsi qu'aux gens autour de moi. Mon arrogance et ma fierté prenant le dessus je me crus d'abord supérieur à eux. Je haïssais ceux que j'aimais, soit mon père et Maya. Bien que mon père ne s'occupait jamais de moi je l'aimais tout de même, il était encore mon père, j'étais son sang. Ma logique prit alors le sens suivant : si je l'aimais lui, alors son sang devait être bon, je devrais l'aimer. L'idée de le tuer ne m'effleura pas encore l'esprit. Je tua d'abord une de mes anciennes nourrices. L'enquête fut menée et je dois reconnaître que sous le coup de la pression je fis des erreurs et j'allais me faire démasquer. Seulement je n'avais pas honte.
Alors je me confia à Maya qui me regardait avec horreur. Je ne comprenais pas sa réaction, bien qu'elle était justifiée. Elle voulut s'éloigner loin de moi mais je l'en empêchai. Je l'embrassai sauvagement et la garda serrée contre moi. Maya se débattit mais j'étais bien plus fort et bien plus persuasif qu'elle. Je pris sa tête et l'enfouis dans mon cou pour qu'elle sente mon odeur. Cette odeur si attirante... A force de caresses et de baisers elle céda et nous le fîmes dans la chambre de son petit appartement. Nos ébats étaient assez... étrange. Nous nous coupions légèrement les doigts et léchions la plaie de l'autre, faisant monter notre plaisir (Surtout le mien je dois bien l'avouer, car ma théorie sur le sang des êtres aimés était réel, pour moi en tout cas). Bizarrement elle ne me reparla pas les jours suivants, ce qui ne fit qu’accentuer encore ma haine. La douceur de cette nuit là ne m'avait pas suffit, il me fallait plus de violence. Son absence de ces jours là accentua également mon désir. Je la pris alors par surprise dans son appartement un soir et la violai de la façon la plus sauvage qu'il fut. La suite de la soirée je ne m'en souvins guère. Je ne me rappela que le réveil, quatre fusils pointés sur mon torse, et Maya à côté de moi, morte, éventrée.
Bien évidemment je fus conduit au commissariat et y resta plusieurs jours. Mon père paya une énorme somme pour me sortir de là, et bien malgré ça je fus continuellement surveillé par les forces de l'ordre pour meurtres et viol. Durant le voyage jusqu'à la maison il ne dit rien, absolument rien, même pas une réprimande. Arrivés à la maison je rentra dans ma chambre et m'y enferma pendant plusieurs jours, regrettant alors l'absence de Maya, l'ayant tuée de mes mains. Je ne savais plus quoi faire de ma vie à présent, déjà bien gâchée. Que restait il de plus à craindre ? Donc, alors que mon père parlait au téléphone, je rentrai dans son bureau en silence, et l'égorgea par derrière sans plus de décence. J’appelai la police et me dénonçait moi-même.
C'est ainsi qu'à dix-huit ans je rentrai au sein de l'Institut Stark. Cela fait maintenant quatre ans que j'y suis et mon pouvoir survint en moi comme un changement. Évidemment je me suis "assagi" ici, et ne tue plus. Mais j'aime manipuler les gens. Je fis ma place aisément et je réussi à être crains de certaines personnes. Surtout de par mon histoire.
Faites tomber les masques
ϟ Prénom :Marineϟ Pseudo :Wish'ϟ Âge :16 ans dans un moisϟ Région/Pays :Sud Île de Franceϟ Présence sur le forum :7/7 J.ϟ Que pensez-vous du forum ?Superbe (:ϟ Où avez-vous connu le forum ?Grâce à Peter Miles ϟ Célébrité sur l'avatar :Ben Barnesϟ Code du règlement :Stark porte des slips en laine de panda ! ϟ Un petit plus pour la fin ?Nyoop *^*
Dernière édition par Casildey J. Downey le Jeu 20 Juin - 17:08, édité 9 fois
Sujet: Re: » C'est comme une toile d'araignée : plus on se débat et plus on est condamné. Mer 19 Juin - 23:27
Désolé du DP, mais j'ai finis :D Mon histoire est nulle, surtout la fin. J'avoue ne pas vraiment avoir su comment clarifié l'être qu'est Cady, car il est un peu compliqué. J'espère que c'est tout de même clair. ;)
Sujet: Re: » C'est comme une toile d'araignée : plus on se débat et plus on est condamné. Jeu 20 Juin - 15:13
Ton histoire n'est pas nulle, t'es juste un véritable fou furieux, mais sinon tout va bien Bon je vais relire ta fiche et te la valider ce week end je pense. Pour ton pouvoir je pense que tu devrais mettre un peu moins étant donné que tu l'as découvert tard et que tu n'en parles pas dans ta vie passé un 30 serait plus approprié ;)
Casildey J. Downey
▌Messages : 14 ▌Date de naissance : 14/09/1990 ▌Date d'inscription : 13/06/2013 ▌Age : 22 ans ▌Avatar : Ben Barnes ▌Crédits : Avatar > Bazzart. Signa & co > Tumblr. ▌Ton joli minois :
Sujet: Re: » C'est comme une toile d'araignée : plus on se débat et plus on est condamné. Dim 23 Juin - 14:45
Bienvenue sur BYM !
Ta fiche ayant été terminée, j'ai le plaisir de te valider, et de t'ajouter dans le groupe THE CORRUPTED ! Et l'institut t'accepte à présent dans son antre !! Un psycopathe, un fou furieux dans un endroit où les gens sont presque tous déjà fous... ça promet ! Bienvenue parmi nous ! Tu peux à présent poster ta fiche de lien ici & de topic ici, & aussi commencer un journal intime si tu le juge nécessaire ici ! N'oublies surtout pas de venir recenser ton avatar ici et de pouvoir là ! Tu devras également faire une demande de cellule ici. Maintenant, tu as le droit (& le devoir (a)) de RP, et flooder dans les parties prévues à cet effet. De plus, un système de points a été mis en place ici, donc n'hésite pas à venir voir un peu comme ça marche. ♥ Encore bienvenue et surtout n'oublie pas d'aller voir de temps en temps les News du forum, il peut s'y passer des choses intéressantes. Bon jeu !
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Sujet: Re: » C'est comme une toile d'araignée : plus on se débat et plus on est condamné.
» C'est comme une toile d'araignée : plus on se débat et plus on est condamné.