▌SURNOM : Boum, Drew ça dépend des personnes ▌GROUPE : Protect Themselves ▌AGE : 17 ans ▌DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 16 Janvier dans le Bronx ▌POUVOIR/SPECIFICITE : Il a commencé à développer un pouvoir avant son arrivée à l'institut. La Désintégration Permet de décomposer en mille morceaux un objet matériel ou biologique en fermant le point et en forçant avec celui-ci ainsi l'objet tombe en éclat. Malheureusement ce pouvoir connaît ses failles comme tout autre et trop l'utiliser fatigue le jeune homme. De plus son contrôle sur le pouvoir n'est pas génial, ce qui fait que parfois il l'utilise sans le vouloir. ▌NIVEAU DU POUVOIR : 50/100. ▌ORIGINES : Américaines ▌SITUATION SOCIALE : Bien qu'ayant eu de nombreuses aventures, désormais Andrew fais partie du club des célibataires. Il est également orphelin suite à une certaine catastrophe ayant tué ses parents. ▌ORIENTATION SEXUELLE : Andrew est bisexuel et il ne s'en cache pas.

Caractère Ici, décris-nous ton caractère. Nous demanderons un minimum de 15 lignes. Mais attention, cette partie est sous forme raccourcie donc les lignes ne se comptent pas ici.Voilà tellement de temps que tu vis en suivant la même routine. Inutile de te chercher encore, tout le monde pense t'avoir trouvé. Mais toi que penses-tu de tout ça. Est-ce vraiment toi ce visage que tu te bornes à montrer ? Ou te caches-tu encore après tant d'années sous un masque d'acier ? Tout le monde te vois comme un garçon reculé, timide, certains pensent que tu es coincé. Mais en fait c'est le contraire, toi tu rigoles tout le temps, tu t'amuse, inutile de le cacher, tu laisses parfois glisser dans tes phrases innocentes ce sarcasme que tu maîtrises à merveille. Des années d'entraînement t'ont forgées un caractère de béton. Tu ne t'attends pas à ce que les autres t'aident. Mais tu sais que là où tu es, plus tu paraîs faible et innocent mieux c'est. Peut-être que tu as raison dans le fond. Donc tu caches tes sentiments, tu caches la haine qui te consume. L'énergie que tu as, la puissance de ton âme et la conviction de tes choix pour paraître obéissant, et malléable. Tu es un atout pour ton camps et tu le sais. Mais à eux tu montres autre chose, tu leur montre le vrai toi, qui n'as qu'une seule envie c'est de quitter cet endroit. De t'enfuir de t'évader, parce-que la vérité c'est que tu rêves de voyages, de parcourir le monde, de respirer la liberté. Tu ne cours pas après l'amour Andrew. Tu sais qu'il viendra à toi, tu es charmeur, un dom-juan. Fut un temps tu enchaînais les conquêtes amoureuses. Filles ou Garçons tu t'amusais à les charmer. Parfois tu étais un vrai salop, tu les envoûtaient puis tu les lâchaient. Maintenant tu as mûri, tu dragues toujours, mais tu te forces à montrer le meilleur de toi même.

"On raconte de par chez nous, que la vie est une lutte, une lutte qui ne connaît aucune fin. Même la mort ne nous en libérera jamais. Parce-qu’on raconte que même après la mort, la vie nous joue des tours. Alors si c'est ainsi, à quoi sert-il de mourir? Autant garder la tête haute et se battre sans jamais baisser les bras face aux obstacles."



Tu ne te rappelle pas grand chose de ton enfance. Et pour cause, tu ne trouves personnes pour t'en parler. Mais tu ne baisses pas les bras, à force de concentration tu parviens à capter des brides de souvenirs. Tu es né un 16 Janvier, une nuit douce d'hiver. Tu te souviens de ta mère quelques années plus tard qui te dis que le jour de ta naissance, une neige fine tombait dehors. Tu ne t'en souviens pas mais tu sens au fond de toi un sentiment de légèreté quand tu vois de la neige. Tu sais qu'elle t’apaises, tu prends une grande respiration et tu te rappelle de ton père; c'était un jeune homme, il n'avait que 21 ans le jour de ta naissance, ta mère elle avait 38 ans. Tu ne t'étonnes pas de l'écart entre leurs âges, toi tu sais qu'ils s’aimaient. Tu te rappelles qu'ils passaient leur temps à rire. Ton père t'aimait, il te parlait tout le temps. Tu étais jeune, tu ne t'en souviens pas mais il te disait qu'il croyait en toi. Il te disait de lui faire honneur lui qui avait été la victime de la société pendant tellement longtemps. Ta mère elle avait arrêté de travailler pour s'occuper de toi. Elle était tout le temps présente. Tu sens ses bras s'entourer autour de toi. Tu as 1 ans à peine, tu sais déjà qu'elle sera toujours là pour toi. Tu t'endors, absorbant la chaleur maternelle. Tu rêves, tu vois des oiseaux, des chats, ta mère t'en a acheté un. Un tout petit chat blanc, elle l'a appelé Neige, pour toi, pour que tu n'oublie pas ce jour blanc où tu es né. Tu es protégé dans ton petit chez toi. Tes parents te protègent, tu ne connais pas les problèmes qu'il y a dehors. Tu te promènes dans le jardin public avec ton père et ta mère, tu cours, tu galopes, tu sautes, tu te roules dans l'herbe et provoque un fou rire chez tes parents. Ton père te prends dans ses bras. Il te fais tourner, vite, plus vite. Tu poses ta tête sur son épaule, tu joue avec ses mains, tu rigole et tu veux descendre. Il te pose au sol. Tu recommences a chahuter. Tu cours dans tous les sens. Tu es heureux, tu sais que tu es heureux. Tu regarde un oiseau traverser le ciel. Puis tes parents te ramènent chez toi. Ton père est inquiet la nuit, il dit que tu habites dans un endroit dangereux. Tu habites dans le Bronx, et la nuit tu entends parfois des grands BOUM. Tu ne sais pas ce qu'ils représentent, mais ils te font peur.



Tu cours dans le jardin, tu appelle ton père, vous êtes en retard. C'est le jour de la rentré, tu est pressé d'aller à l'école. Tu as cinq ans. L'école tu adores ça, tu aimes découvrir des choses, jouer avec tes amis. Tu sais que ton papa lui aussi aimait l'école quand il était enfant. C'est lui qui te l'as dit. Ton papa travaille beaucoup, il dit que c'est parce-qu’il ne veux pas que tu manques de quelque chose. Il rigole avec toi dans la voiture, tu regardes passer les autres voitures et tu lui raconte ta journée de la veille. Tu lui montres ton dessin, tu lui dis que la maîtresse était contente de toi. Tu as passé une nuit mouvementée. Le soir Maman et Papa se sont disputé. Ils ne savent pas que tu as entendu, mais tu étais là, dans les escalier pour les observer. Tu avais peur, ton papa avait bu avant. Ta mère pleurait en criant. Tu ne les avait jamais vu ainsi, tu regardes ton père pendant que tu te remémore la soirée. Tu l'aimes ton papa, tu comprends pas pourquoi ils criaient la veille, mais tu sais que c'était à cause de toi, tu as souvent entendu ton nom dans la conversation. Tu te sens coupable, tu dis à ton papa que tu l'aimes très fort. Il te regarde, le regard du papa protecteur, qui ne veut que le bien de son enfant. Et il te dis que lui aussi t'aimes très fort. Tu es content. Tu sors de la voiture. Tu croise un homme qui te fixes, tu lui souris ton papa t'as appris qu'il fallait être poli. Tu entres dans l'école. Tu vas jouer avec tes amis. Les jours se suivent ainsi, tes parents ne se disputent plus. Tu profites d'eux, tu joues tu vis ton enfance à fond. Tu as dix ans, et bientôt toi le petit être innocent tant protégé, ta vie changeras. Mais tu ne le sais pas, à dix ans tu ne t’intéresses pas à ça. Ton papa te charries avec les filles. Il dit que tu feras tomber le coeur de plus d'une de ses demoiselles. Il dit que tu es beau, qu'il t'aimes. Ta mère te dis que les filles, il faut les respecter. Qu'elles ne demandent que de l'amour, qu'on prenne soin d'elle. Elle te dis de prendre exemple sur ton père. Parce-que pour elle c'est l'homme parfait. Toi tu es amoureux mais tu ne le dis pas. Tu deviens rouge quand on parles des filles, c'est ta meilleure amie, mais elle est si belle. A l'école, tu n'es plus timide, tu rigoles tout le temps, tu fais des blagues. Tu es drôle et beaucoup de monde t'aimes. Tu es content.



Fini l'enfance, tu la laisse derrière toi en prenant le chemin vers autre chose, de plus beau plus intense. Tu enfile le manteau de l'adolescence. Tes parents te protègent encore tellement. Mais toi tu ne veux plus qu'ils te protègent, tu veux faire tes propres expériences. Tu t'éloignes de ton père, tu t'éloignes de ta mère. Tu oublies tout ce qu'ils ont sacrifié pour toi et tu t'élances vers les dangers de l'adolescence. Tu vis ta vie à deux cents à l'heure. Tu n'as que 14 ans, mais déjà tu enchaîne les conquêtes amoureuses. Tu sais comment t'y prendre, ton visage d'ange t'aide à charmer les dames. Tu te rends compte que tu charmes aussi les hommes, tu en profites. Pour toi il n'y a rien de mal à pouvoir s'amuser avec les deux. Tu as raison. Tu es Bisexuel et tu ne le caches pas. Tu embrasses ton copain à pleine bouche et deux semaines plus tard, tu invites une fille au restaurant. Mais tu ne passes pas le pas de la nuit. Tu ne veux pas encore te lancer. Tu sais qu'un jour tu le feras mais tu attends. Tu préfères t’amuser. Draguer quelqu'un, le faire tomber fou amoureux de toi puis le lâcher. Tes parents te reproches ce jeu mais tu t'en fiches de ce qu'ils pensent, ils sont vieux et toi tu es jeune, tu es in, eux sont out.
Tu t'amuse encore. Tu as 15 ans. Tu sais que ce que tu fais es mal mais tu t'en fiche, tu fumes ta première cigarette, malheureusement tu n'arriveras plus a arrêter. Tu deviens colérique, insolent et agressif, tes parents disent que c'est la crise d'adolescence. Une nuit tu rentres tard chez toi. Ton père est furieux, il te crie dessus. Tu lui réponds méchamment, vous vous disputez. Pour la première fois de ta vie, ton père te gifle, tu est bouillonnant de fureur tu fermes le poing pour ravaler ta rage et la table, et les chaises se désintègrent derrière ton père. Une lueur d'effroi se lit dans tes yeux, tu ne sais pas qui a fait ça. Ton père te regardes, lui aussi a peur. Il s'approche de toi et te prends dans ses bras. Tu sais maintenant que c'est toi qui as fait ça. Tu pleures sur l'épaule de ton père, tu as peur, tu ne comprends pas ce qui t’arrive. Plusieurs mois passent, plus aucun incident n'arrive, tu te calmes, tu obéis à tes parents. Tu es un enfant modèle certes tu dragues toujours, tu continue de jouer mais beaucoup moins méchamment, tes histoires d'amour sont de plus en plus longue et intenses. Tu passes le pas avec un garçon. Tu passes une nuit de folie, tu n'oublieras jamais cette nuit. Tu rentres chez toi le lendemain, le sourire au lèvres. Tu entres dans ta maison, tes parents sont dans la cuisines, ils te disent bonjour en souriant tu montes dans ta chambre. Tu te rends compte qu'elle n'est pas comme avant, tu descends les escaliers, fumant de rage. Tes parents ont fouillé dans tes affaires. Tu hurles tu t'énerves ta mère essaie de te calmer, tu la pousses, tu sors de la maison, tu t'assois sur le seuil, tu sens la puissance monter en toi. tu fermes les yeux, sans le vouloir tu sers les poings, au début rien ne se passe, ensuite tu entends un énorme bruit. Tu es projeté en avant. Tu te relève sonné, ta maison est en flammes. Tu t'avances en titubant. Tu entres, tu vois tes parents sous des gravats, sous des bouts de toit. Tu fixe la gazinière, elle est écrabouillée, mais aucun débris ne lui est tombé dessus. Tu ne comprends pas, puis tout s’éclaire. tu te rends compte que c'est toi qui as fais ça. Tu hurles, tu tombes à genoux, tu appelle ton père, tu supplie ta mère de se réveiller. Tu es seul, et c'est de ta faute. tu pleure des chaudes larmes. Tu hurles encore, tu t'en veux, mais tu ne peux rester ici, tu prends la voiture de ton père et tu t'en vas. Tu as 16 ans. et tu te rends compte que la vie n'est pas aussi douce que tu le croyais.



Tu approches de tes 17 ans, tu vis seul dans un petit appart que tu as pu te payer grâce a l'économie de tes parents. Tu as arrêté l'école, pour toi elle ne sers à rien. Tu te sens toujours coupable, tu sais que plus jamais tu ne te regarderas dans la même façon dans un miroir. Mais tu sais aussi que de toutes façon, tu dois continuer. Tu travailles dans une boîte de strip-tease la nuit, tu es assez bien payé. Tu peux grâce à l'argent que tu gagnes, te nourrir assez convenablement. D'ailleurs un soir tu t'en souviendras toujours. Tu te rends à ton travail, le boss t'appelles, il t'annonces que ce soir tu es pris pour une belle fortune. Il te dit qu'un mec super riche et important te payes pour que tu fasses passer une soirée d'enfer à sa fille. Tu fixes les billets et tu souris. Tu te prépares. Elle arrive, c'est une petite blonde, elle est sexy, une chemisette nouée et un short. Tu trouves que son visage est enfantin. Mais tu sais qu'elle est plus vieille que toi, tu lui souris, de ton sourire charmeur, celui que toi seul maîtrise si bien. Tu l'entraînes dans une salle VIP. Tu vois qu'elle est nouvelle, tu lui propose d'aller doucement. Tu allume la musique et tu commences à danser. Tu enlève sensuellement ta chemise, tu croise le regard de la fille, tu fais ton boulot les trucs habituels. Tu prends sa main et la pause sur ton torse. Elle éloigne sa main, en quelques secondes elle est sur toi,tu caresses ses hanches mais elle te repousses encore. Tu te redresses, tu ne comprends pas. Tu lui dis que tu dois bosser, elle te propose du fric pour ne rien faire. Tu rigole intérieurement mais grogne encore. Elle ne cède pas, tu lève les yeux au ciel et vous passez une nuit à regarder des films, tu t'endors près d'elle. Puis tu la revois souvent, vous êtes devenus amis toi et elle. cette fille son nom c'est A. Siloë Bocciano. Tu ne l'oublieras pas ce nom, vous gardez contact et tu la retrouveras plus vite que tu ne le penses. Tu sors avec un homme, un autre homme de la boîte, vous vous ressemblez et vous vous aimez. Mais tu refuse de vivre chez lui. Il a une grande maison, il est riche et il ne comprends pas pourquoi tu ne veux pas. Toi tu sais, il suffirait qu'il jette un coup d’œil dans ton appart pour qu'il puisse voir les objets écrasés désintégrés, détruits pour certains. Tu ne contrôles toujours pas ton pouvoir, tu le contrôle un peu mieux, tu réussis à viser, mais il est toujours dicté par de fortes émotions. Il veut coucher avec toi, toi tu as peur de détruire quelque chose. Tu sais que ce sont les fortes émotions qui déclenchent ton pouvoir. Tu ne lui montre pas que tu as peur, tu joue avec lui, en façade tu te montre sarcastique, froid, méchant parfois. Tu t'adaptes à ta situation comme tu l'as toujours fait pour te faire le moins mal possible après. Puis tu entends parler de quelque chose, toi qui te sentais seul, tu te rends compte que tu n'es pas le seul, tu restes quelques mois dans l'ombre, jusqu'à ton 17ème anniversaire. Tu quittes ton boulot, tu quittes ton appart, sans rien dire à ton mec. Tu lui laisses juste un mot
"Un jour"
Tu sais qu'il comprendra que tu l'as quitté, mais que peut-être il te reverra tu sais que tu dois saisir ta chance, dans cet institut. Au début tout vas bien, tu te sens chez toi, tu apprends à contrôler tes pouvoirs, puis tu te rends compte que les expériences, le bourrage de crânes, sont les maîtres mots ici, tu prends peur, une rébellion se crée.



Tu rejoins cette rébellion, tu sais qu'elle est prohibée, mais tu t'en fiches, tu veux fuir, loin d'ici, tu as peur de cet endroit, en façade tu passes pour quelqu'un de faible, mais à l'intérieur, tu es un vrai volcan prêt à entrer en éruption. Tu t'es déjà battu plusieurs fois ici. Ton pouvoir est classé parmi les destructeurs, tu es dangereux. Mais tu ne le contrôles toujours pas. Ton Stress aggrave cet effet, tu espère aider les résistants pour pouvoir respirer et prendre le contrôle sur ta malédiction. Tu attends la suite des événements.